Grève à l'étude de notaires. Le conflit dans l'impasse
Les positions n'ont pas évolué au terme
d'une semaine de grève à l'étude notariale Brisset-Le Touze. Et la
tentative de conciliation du président du tribunal de grande instance
n'a pas permis d'envisager une issue satisfaisante.
«On ne lâchera pas»
«Il nous a dit que nos gesticulations ne mèneraient à rien et que nous avions un seul droit, celui de nous taire», affirment les salariés en grève depuis lundi. «On n'a pas fait tout cela pour rien. On ne lâchera pas!» Les salariés en grève réclament comme préalable à toute négociation la réintégration de leur collègue licenciée en début de semaine et la révocation du mandataire judiciaire jugée «trop partiale» par les grévistes. Des conditions inacceptables pour la partie adverse. En attendant une éventuelle issue, les grévistes, soutenus par l'union locale CGT, multiplient les actions afin de donner un large écho à un mouvement sans précédent dans le milieu très feutré des notaires qui ne goûtent guère aux éclats de voix.
«On ne lâchera pas»
«Il nous a dit que nos gesticulations ne mèneraient à rien et que nous avions un seul droit, celui de nous taire», affirment les salariés en grève depuis lundi. «On n'a pas fait tout cela pour rien. On ne lâchera pas!» Les salariés en grève réclament comme préalable à toute négociation la réintégration de leur collègue licenciée en début de semaine et la révocation du mandataire judiciaire jugée «trop partiale» par les grévistes. Des conditions inacceptables pour la partie adverse. En attendant une éventuelle issue, les grévistes, soutenus par l'union locale CGT, multiplient les actions afin de donner un large écho à un mouvement sans précédent dans le milieu très feutré des notaires qui ne goûtent guère aux éclats de voix.
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