unionlocalecgtlorient.blog4ever.com

unionlocalecgtlorient.blog4ever.com

revue de presse du week end.

Retraites : l'intersyndicale déterminée à gagner




Les organisations syndicales CGT, CFDT, CFTC, CGC, FSU, Solidaires, UNSA, et Sud-Santé appellent à se mobiliser mardi 7 septembre contre la réforme des retraites.   Les organisations syndicales CGT, CFDT, CFTC, CGC, FSU, Solidaires, UNSA, et Sud-Santé appellent à se mobiliser mardi 7 septembre contre la réforme des retraites.

http://memorix.sdv.fr/5/www.maville.com/lo/infoslocales/divers_articles/602446903/Position1/SDV_OFM/default/empty.gif/546e5262766b79434a464d4141723979?w=1280&h=1024&dpt=0

Cette rentrée sociale est animée par un sujet : la refonte du système des retraites. L'intersyndicale appelle tous les salariés à la mobilisation mardi 7 septembre. Mot d'ordre : éviter que la réforme passe en force.

Dossier

Déterminant

Ce 7 septembre, les organisations syndicales CGT, CFDT, CFTC, CGC, FSU, Solidaires, UNSA, et Sud-Santé en attendent beaucoup. Beaucoup de mobilisation pendant, et beaucoup de négociations ensuite. Le dossier « retraites » réformé « à la hussarde » par le gouvernement et voté par des « députés impréparés », les militants du bassin de Lorient n'en veulent pas.

Soudés en intersyndicale, les différents mouvements appellent l'ensemble des salariés à la grève et à la manifestation, mardi. « La mobilisation interprofessionnelle du 24 juin avait déjà connu une grande ampleur. Mais là, nous nous attendons à bien plus fort, bien plus retentissant », promet Bruno Bothua, délégué CGT.

Financement

Plus encore que l'âge légal du départ à la retraite ou la durée de cotisation, ce sont les modalités de financement de la réforme des retraites sur lesquelles l'intersyndicale appuie son propos. « C'est le financement qui nous questionne le plus, indique Marc Klanec de Sud-Santé. On veut un avenir au système par répartition à partir des revenus du travail. Et non des retraites payées par l'impôt ! » L'effort, l'intersyndicale exige qu'il soit partagé par tous. « Il est inadmissible que les salariés paient 85 % de la note, et que le patronat prenne en charge le reste », poursuit le représentant syndical.

Solidaire

Jugeant le gouvernement « trop pressé sur cette réforme », les syndicats souhaitent continuer les négociations. La question de l'emploi des plus de 55 ans, des femmes et des « jeunes générations » est au coeur des préoccupations.

L'intersyndicale croit à un sursaut de la rue. Avec au bout, « la victoire, c'est certain », martèle Marc Klanec. « On ne veut pas contextualiser localement la revendication, note Bruno Bothua de la CGT. Ensuite, chaque entreprise a ses propres préoccupations, et libre à chacune de les mettre en avant le 7. Mais l'intersyndicale se montre solidaire au niveau national sur ce dossier des retraites. »

Mardi 7 septembre, appel à manifester, à 10 h, à la Maison des syndicats, avenue Cosamo Dumanoir, à Lorient.

Benoît TRÉHOREL.

Ouest-France

 

800 personnes défilent « contre la xénophobie » à Lorient


http://memorix.sdv.fr/5/www.maville.com/lo/infoslocales/divers_articles/934890899/Position1/SDV_OFM/default/empty.gif/546e5262766b79434a464d4141723979?w=1280&h=1024&dpt=0

Environ 800 personnes ont répondu ce samedi matin à l’appel des organisations syndicales et des partis politiques de gauche pour manifester leur désapprobation de la politique menée par le gouvernement. Un appel « contre la xénophobie » lu avec émotion par Maryse Butel, de la Ligue des droits de l’Homme. « Le nécessaire respect de l’ordre public ne doit pas passer par la désignation de boucs émissaires », a-t-elle lancé, se référant aux expulsions de Roms. « La justice régresse », a-t-elle encore clamé. Les citoyens en colère contre le président de la République ont défilé dans les rues de Lorient avant de déposer le texte de l’appel dans la boîte aux lettres de la sous-préfecture.

Xénophobie. Plus de 800 personnes dans la rue

«Le nécessaire respect de l'ordre public n'a pas pour but de désigner des catégories de gens comme boucs émissaires, ni d'imposer des incarcérations automatiques. Ni le Président, ni ses ministres n'ont plus le droit que d'autres de fouler aux pieds la Constitution et les principes de notre République laïque». Autour de Maryse Butel, de la Fédération des Droits de l'Homme, ils étaient plus de 400, hier matin, place Aristide-Briand, pour dire «Non à la xénophobie d'État, à la politique de la haine et de la peur». Le cortège qui s'est ensuite formé, passant par la place Alsace-Lorraine et le cours de La Bôve, s'est ensuite gonflé : ils étaient entre 800 et 1.000 en arrivant à la sous-préfecture.

Xénophobie. Plus de 800 personnes dans la rue

 



05/09/2010
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 97 autres membres